lundi 29 novembre 2010

0109 Le procureur général HASSENFRATZ de NANCY a besoin d'une deuxième couche

Jean-Claude Ponson
« Agence Jean-Claude Ponson »
XX  Xxxxx de Xxxxxxx
88XXX XXXXXXXX                       
                                    LETTRE OUVERTE    à           Monsieur le Procureur Général
                                                                                     Cour d’Appel de Nancy
                                                                                     3 Terrasse de la Pépinière
                                                                                     Case officielle 10
                                                                                     54035 NANCY cedex
Ref : XXXXXXXXXXXXXXXXX

                                                     Xxxxxxxx le 29/11/2010



Monsieur le Procureur ,

En réponse à votre lettre du 21 octobre 2010, je suis absolument convaincu que vous avez bien saisi le sens de mon courrier du 20 septembre 2010.

Sans avoir fait de grandes études de droit, mon discernement à certains égards est parfaitement clair.
Et, pour ce qui concerne les voies de recours et les ayant droits à ces recours,  il n’y a aucune confusion, du moins en ce qui me concerne.

Je sais que vous avez la possibilité de me traîner de tribunaux en tribunaux jusqu’à espérer me voir anéanti, physiquement et moralement, mais aussi financièrement, puisqu’il s’agit de vos poursuites et de nul autre.

Dans ce courrier, si j’ai fait état de comptes-rendus d’audiences, particulièrement surréalistes, c’était pour mettre en évidence le simple fait que, non seulement la Loi n’était pas respectée dans cette affaire, mais, au surplus, que les juges s’opposaient catégoriquement à  la Loi.

Hors, et c’est là que mon juste discernement intervient, j’accuse solennellement le Parquet, d’aller dans le sens des juges hors la Loi, alors même que son  seul et unique devoir est de requérir la Loi, de préserver l’esprit de la Loi, de faire respecter les décisions des parlementaires. C’est,  d’ailleurs, ce qui fait sa respectabilité, sa crédibilité professionnelle.

J’ai donc, effectivement le droit de faire appel de tout jugement signifié, qui ne me convienne pas.
Mais le procureur, dans le ressort de la juridiction  où est constaté une escroquerie par jugement, avérée, a le devoir de faire appel de ce jugement, afin de réclamer une juste application de la Loi.
Malheureusement, et c’est ce que je vous ai démontré, et rien d’autre, vous avez poursuivi contre la Loi, pour aller dans le sens de juges hors la Loi.

Cette situation est parfaitement intolérable, et je retiens contre vous, Chef du Parquet concerné, la faute lourde.

Je sais. Il est une constante particulièrement alarmante de la part de trop nombreux magistrats, debout ou assis :
faire admettre à toute force, leur objectif majeur, à savoir la légalisation de l’escroquerie au jugement, du parjure, du faux en écriture publique, et pourquoi pas de la pédophilie.
Au regard de la relative indépendance des procureurs, et si la France devait suivre les recommandations de l'UE, en la matière, il ne fait aucun doute que, ajouté aux turpitudes  de certains  juges du siège, nous pourrions constater une totale et complète sinécure dans les prétoires " à la française".
Ces magistrats pensent-ils pouvoir encore longtemps marcher sur la tête, en tout cas, aller radicalement à contre sens de la Loi, des exigences du peuple pour le retour à une moralité élémentaire dans nos tribunaux.

La seule chose que je retienne de Jean-Claude Magendie, ancien Premier Président de la Cour d’Appel de Paris, est sa déclaration dans un grand journal : « si la justice ne se fait pas dans les prétoires, elle se fera dans la rue».
A méditer.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur, mes salutations distinguées.

                                                                                                                                        Jean-Claude Ponson

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