mercredi 24 novembre 2010

0078 Réseaux pédo-criminels entre Etats Unis Belgique France Portugal etc ...





Réseau pédo-criminels entre États Unis, Belgique, France, Portugal, etc ....


http://www.facebook.com/l/6de06g-_b3758kduJoftSaiBXxQ;www.karmapolis.be/pipeline/monarch_mystere.htm

Les abus rituels à connotation parfois satanique sur des enfants sont, selon les auteurs, au départ des pratiques familiales transgénérationnelles, c'est-à-dire qu'elles se transmettent de génération en génération, souvent via un père abuseur qui vendra occasionnellement son ou ses enfants à un “contrôleur” chargé de les amener à des réseaux de pornographie ou qui les obligera à participer à des rituels particuliers. Ces familles sont le plus souvent socialement très favorisées et les pères occupent des postes de pouvoir évidents dans le domaine financier, militaire, politique mais aussi dans le show business. Les enfants des familles défavorisées remplissent un autre rôle, nous le verrons. Les chiffres officiels en matière de maltraitances et d'enlèvements d'enfants sont une denrée rare. Normal car les gouvernements craignent sans doute de révéler l'ampleur du désastre et la mesure de nos responsabilités. Normal également lorsque certaines autorités policières, le FBI aux USA par exemple, vont jusqu'à nier l'existence des abus rituels et des réseaux sataniques dans leurs hypothèses et méthodes d'enquête. En Belgique par exemple, le thème des réseaux pédophiles organisés impliquant des puissants de ce monde a suscité pendant des années –entre 1996 et 2004- une guerre médiatique sans pitié et un malaise extrême qui a eu pour conséquence que ce sujet est devenu totalement tabou. La presse et le pays ont éclaté en deux camps : les croyants (en l'existence de réseaux), minoritaires et les non-croyants, largement majoritaires. Le procès Dutroux en a fait les frais puisque la Cour d'assises n'a pas pu ni voulu examiner le dossier sous l'angle des réseaux. Dutroux a été condamné comme prédateur isolé. Le dossier des réseaux appelé « dossier Bis » ne sera sans doute jamais poursuivi.
Mais revenons à nos chiffres : à titre d'exemple, en France, on considère que 800 enfants disparaissent chaque année sans laisser de traces. En Belgique, petit pays de 10 millions d'habitants, en 2001, plus de 200 mineurs ont disparu d'institutions diverses, ce qui n'englobe évidemment pas les chiffres totaux des enlèvements. Les données relatives aux violences physiques, abus sexuels, négligences lourdes et cruautés mentales sont en constante augmentation dans la plupart des pays européens. Le commerce de l'enfant arrive en troisième position derrière la drogue et les armes en ce qui concerne les bénéfices engendrés. Voici donc certaines tendances qui peuvent seulement donner une vague intuition de l'ampleur du drame.
Témoins X et témoins US : même combat ?
Ces victimes très étranges ne peuvent donc être chassées de notre champ de perception au seul motif qu'elles nous racontent des faits incroyables. Ces victimes existent. En Europe, elles apparaissent fugacement au détour de différentes enquêtes policières pour être très rapidement entérinées : au Portugal, en Italie ou en France, on a évoqué l'existence de ces réseaux pédophiles recrutant leurs victimes dans des homes, des structures d'accueil de l'enfance défavorisée ou dans des familles très pauvres et impliquant des notables et des personnalités parfois de premier plan du gouvernement, du monde industriel ou du show business. En Belgique, comme nous l'avons déjà évoqué dans d'autres articles de Karmapolis (voir «La conspiration des silences»), nous avons été confrontés aux très énigmatiques témoins X sur lesquels les média belges auront raconté tout et son contraire mais que l'on a jamais pu ranger dans la case des mythomanes même si certains ont tout fait pour y parvenir. Ces témoins nous font furieusement penser à ces autres témoins américains, victimes du réseau Monarch ; les Brice Taylor, Cathy O'Brien, Arizona Wilder, Paul Bonacci et autre Cisco Wheeler, toutes rescapées en voie de guérison des tortures technologiques de la CIA et de groupuscules militaires ainsi que de rituels sataniques totalement étrangers à notre sens commun. Tout comme ces dernières, nos témoins X appartiennent à des familles incestueuses où les abus sur les enfants sont choses communes et normales. Et tout comme nos victimes de Monarch, nos témoins X ont participé à des rituels et des chasses à l'homme perpétrées par des personnages très importants de la société.

De Camp ainsi que la plupart des auteurs soulignent l'importance du trafic et de l'usage de drogues dans le projet Monarch : le trafic permet de créer des caisses noires et finance les opérations occultes. Il sert également à doper les participants aux rituels et partouzes. La distribution et l'usage de cocaïne permettent enfin de « mouiller » et de faire chanter certaines des personnalités impliquées dans ces réseaux. La drogue sert d'outil de contrôle et de pression. Quant au scandale du « Franklin Cover Up » (ou affaire Paul Bonacci ), il s'agit d'une des enquêtes les plus tangibles (mais qui n'a malheureusement pas abouti à des inculpations sérieuses) sur l'un des innombrables réseaux composant Monarch. Selon Bonacci, une des victimes, l'affaire du Franklin Cover Up impliquait des mineurs d'âge, généralement de très jeunes garçons et adolescents emmenés par Lawrence « Larry » King Jr à la Maison Blanche et dans des villas de Washington pour participer à des sex and drugs parties très violentes. Un dossier parmi d'autres, tant d'autres (A lire en anglais : The Franklin Cover Up par John De Camp AWT inc 1996). Pour ceux qui voudraient vérifier la réalité de ces dossiers américains, plongez-vous par exemple dans le scandale de l'école maternelle Mc Martin en Californie (rituels sataniques, pornographie et prostitution enfantine à la Mc Martin Preschool. Lire Virtual Government, CIA Mind Control Operations in America, Alex Constantine, Feral House). Renseignez-vous également sur les abus qui se sont déroulés dans la crèche de la base militaire Présidio à San Francisco, des faits dénoncés sur base des constatations d'abus perpétrés sur un enfant de 3 ans, victime de viols et de tortures. Ce sont près de 59 enfants qui seront cités à titre de victimes dans cette affaire impliquant entre autre le Colonel Michael Aquino, fondateur d'une secte satanique, le Temple de Set dont le siège se trouvait sur la base militaire (lire le livre du journaliste d'investigation Roy Blake : Objective Evil : Satanic Cults in US Intelligence ). Les cas documentés sont innombrables, il suffit d'avoir le courage de s'y plonger pour constater la réalité de ces faits et cet étrange mélange de civils, de militaires et d'agents du renseignement, de contrôle mental, de pédophilie et rituels sataniques.
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